Ma religion, c'est moi !

De tous temps l’homme à des croyances, des dieux, bouddha ou mythes nourrissant des histoires culturellement très différentes. La religion rassure l’homme quant aux biens faits de ses actions, et à la pénitence de ses méfaits.

Mais dès lors ou nos action sont dicter par la religion et le « correct » qu’elle impose, l’homme est contraint et perd de sa liberté.

Ma religion c’est moi, mes convictions dictent mes actions. De par les valeurs et norme que la société m’a permis d’acquérir, je peux affirmer et développer mes convictions.

Ainsi si l’envie de croire en plusieurs religions ou en aucune, sans limite de contrainte qu’elles peuvent imposer, est tout à fait possible. C’est une manière d’embrasser la liberté d’expression de manière contestable pour les personnes ayant des croyances très forte.

Pourtant dans la religion, le rapport croyance et humanisme est très intéressant. Croire à tel point en une chose, que l’on peut dicter notre vie pour celle-ci, est tout bonnement incroyable et magnifique. Sans partager la même opinion, je dirai que l’espoir placé en une divinité est une caractéristique typiquement humaine et nous distingue de d’autre espère, qui eux non pas la capacité d’empathie ou d’espérer.